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28 juillet 2021 3 28 /07 /juillet /2021 22:12

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La Monnête

Une monnaie qui a l’âme honnête Version 1.04 (2021/08/04) par Bernard C.

La pauvreté n'est pas naturelle. Ce sont des hommes qui la créent, ce sont des hommes qui la vaincront" (Nelson Mandela)

Parce que le monde n’évolue pas dans une direction permettant à l’ensemble de la population de la planète d’améliorer sa condition, mais que l’organisation financière conduit au contraire à transférer le pouvoir d’achat de la grande majorité de la population vers une importante minorité de personnes de plus en plus riches, je pense personnellement qu’il est temps de changer de système économique. Nous devons trouver le moyen de mettre fin à ce qui permet à certains de percevoir des fortunes, (dirigeants, footballeurs, acteurs, etc.), alors qu’en échange de leur travail très nombreux sont ceux qui ne font que survivre dans des conditions souvent très précaires.

Si vous êtes d’accord sur le principe, alors merci de continuer à lire le texte ci-dessous et de faire toutes vos remarques et propositions en commentaire sur le site sur lequel ce texte sera publié. (Propositions de corriger les fautes éventuelles acceptées avec remerciements).

La solution la plus pertinente semble être le changement de système économique et pour y parvenir la meilleure méthode pourrait être de changer le système d’échange. Nous devons donc envisager de remplacer la monnaie existante par un autre système d’échange, ce qui permettra de redistribuer les fortunes accumulées depuis des siècles sur le dos des moins fortunés à l’ensemble de la population, en commençant par les plus démunis.

Même si tous ceux qui bénéficient des avantages du système s’y opposent par tous les moyens dont ils disposent actuellement, si la majorité de la population ayant intérêt à remettre le système économique actuel en cause coordonnent leurs efforts, la solution proposée devrait les mettre or jeu, grâce à la mise en place d’un système d’échange remplaçant les monnaies actuelles qui perdraient leur valeur puisque refusée par tous les acteurs économiques contraints par le choix de la majorité de la population de fonctionner avec le nouveau moyen d’échange.

  1. Qu’est-ce que la monnaie.

La monnaie n’est rien d’autre qu’un moyen d’échange et surtout pas une marchandise pouvant être achetée et revendue et avec laquelle il est possible de s’enrichir en la plaçant ou en spéculant.

Un moyen d’échange ne peut en aucun cas être privé. C’est donc à la collectivité de prendre en charge les coûts de gestion de ce moyen d’échange. Les coûts de gestion doivent être financés par l’impôt.

Aucun intérêt ne peut être versé sur les comptes de ceux qui accumuleraient leurs moyens d’échanges parce qu’ils ne dépenseraient pas l’intégralité de leurs revenus.

On ne doit plus pouvoir s’enrichir simplement, en accumulant un moyen d’échange. Seul le travail doit pouvoir fournir un revenu. Telle est la réforme fondamentale que nous devons mettre en place, la condition sine qua non de la révolution économique projetée.

  1. Comment parvenir à remettre en cause le système existant ?

C’est à cette question fondamentale qu’il doit être répondu dans les propositions qui vont être faites ci-dessous.

Remplacer l’Euro par la Monnête, est la proposition essentielle.

Qu’est-ce que la Monnête ?

La Monnête est le futur moyen d’échange jouant le même rôle que la monnaie, mais qui aura pour particularité d’être basée sur un usage honnête.

Juridiquement, seul l’Etat ou les organismes habilités, peuvent créer de la monnaie, alors que tout le monde est autorisé à signer des reconnaissances de dettes.

Qu’est-ce qu’un moyen d’échange basé sur un usage honnête ?

Une moyen d’échange utilisé de façon honnête est un moyen d’échange qui ne peut-être utilisé que par des personnes et des entreprises acceptant une totale transparence et le respect de règles morales qui seront liées à l’usage de ce moyen d’échange, notamment en signant une charte constituant un engagement à n’utiliser que la Monnête à l’exclusion de tout autre moyen d’échange.

Dans un premier temps la Monnête peut être liée à la valeur de l’Euro, mais comme le but de la Monnête est d’être un moyen d’échange universel, une base mondiale devra à terme remplacer celle de l’Euro.

Comment la Monnête peut-elle être créée ?

C’est en reconnaissant une dette que chaque individu, chaque entreprise créent des Monnêtes.

En tant qu’individu, j’achète un bien ou un service, en échange je signe une reconnaissance de dettes libellée en Monnêtes, et je crée ainsi des Monnêtes.

En tant qu’entrepreneur, j’acquiers des biens d’autres entreprises ou des services, je rémunère mes salariés. En échange des biens, des services et du travail, je signe des reconnaissances de dettes libellées en Monnêtes, et je crée ainsi des Monnêtes.

Les Monnêtes n’existent que sous forme scripturale. C’est la garantie de la transparence.

Quand je signe une reconnaissance de dettes, mon compte est débité du montant de la reconnaissance de dette et le compte de la personne ou de l’entreprise à laquelle je signe une reconnaissance de dette voit son compte crédité en Monnêtes du montant identique.

Les Euros n’ayant plus cours pour acquérir des biens ou des services, l’épargne en Euros serait récupérée pour des montants limités à déterminer en commençant par celle des personnes les plus démunies. Les Euros récupérés seront transcrits en Monnêtes sur les comptes des propriétaires de l’épargne, puis ils seront détruits par l’organisme démocratique habilité.

L’Epargne des possesseurs de grandes fortunes sera définitivement perdues au-delà d’un montant à déterminer de façon démocratique.

Les titres de placements, actions, obligations, etc., ne pourront plus être vendues ni à des entreprises ni à des particuliers.

Les besoins de financement des investissements des entreprises étant réalisés contre les reconnaissances de dettes, les entreprises n’auraient plus à chercher des fonds sur les marchés financiers. Ceci afin de mettre fin à la libre circulation des capitaux et à la spéculation financière qui l’accompagne.

La gestion démocratique des plafonds de reconnaissances de dettes, limiteraient obligatoirement la distribution de rémunérations dépassant les limites de la bienséance.

Il faut en finir avec ces rémunérations sans fondements qui permettent à certains d’acquérir des biens valant des fortunes qui ne servent qu’à satisfaire leur égo. Pourquoi disposer d’un yacht qui reste au port en permanence et qui n’en sort en moyenne que trois jours par an.

Tout ce travail réalisé par des ouvriers pour obtenir leur salaire, il pourrait être supprimé et sans baisser leur pouvoir d’achat partager le travail utile à tous, ce qui permettrait de réduire le temps de travail de chacun sans réduire le pouvoir d’achat.

Certains, très généreux, proposent actuellement qu’en cas de changement politique ils limiteraient des rémunérations maximum à vingt fois le salaire minimum.

Personnellement je pense que cet écart est encore trop important, mais ce n’est pas moi qui définirais la fourchette à mettre en place entre le salaire minimum et le salaire maximum. Cette décision sera réalisée démocratiquement dans les instances qui seront mises en place grâce à une Assemblée Constituante.

  1. Gestion démocratique des reconnaissances de dettes.

Puisque chaque individu, chaque entrepreneur crée de la Monnête en signant des reconnaissances de dettes, en réalité, par un simple clic sur son ordinateur ou par présentation d’une carte d’échange, le système ne pourrait pas fonctionner s’il n’y avait pas de limite fixée à chaque individu et à chaque entreprise en fonction de critères évalués selon leurs capacités de réduire le montant global de leurs reconnaissances de dettes.

Pour les individus, la façon de réduire leurs reconnaissances de dettes est d’en percevoir de leurs employeurs. Pour les entreprises la réduction de leurs reconnaissances de dettes s’opère grâce aux reconnaissances de dettes qu’elles reçoivent de leurs clients.

    1.  Organismes de gestion des plafonds des reconnaissances de dettes.

Ce sont des organismes de gestion démocratique des plafonds des reconnaissances de dettes qui doivent être mis en place, sur des paramètres qui doivent être le plus automatisés possible notamment pour les salariés dont les revenus seront les bases servant de références.

Pour les entreprises, les critères devront être évalués en fonction des secteurs, car selon les activités, les besoins peuvent varier considérablement. Par exemple pour des entreprises produisant toute l’année pour des ventes saisonnières, les plafonds accordés devront permettre aux entreprises de se constituer suffisamment de stocks.

    1.  Gestion des comptes de reconnaissances de dettes

Comme les banques gèrent actuellement les comptes de chaque individu et de chaque entreprise, les organismes de gestion des reconnaissances de dettes devront tenir les comptes des individus et des entreprises.

  • Soit les outils bancaires sont transférés et mis à la disposition des organismes de gestion démocratique pour accomplir cette tâche de gestion,
  • Soit l’on crée de nouveaux outils permettant de gérer les comptes.

Sachant que les organismes de gestion démocratique des reconnaissances de dettes mettront fin à l’activité des banques qui feront inévitablement faillite faute de pouvoir continuer à gérer les comptes en Euros devenus inutilisables, il semble que la solution probable sera le transfert de tout le patrimoine bancaire à la population devenue propriétaire collectivement de ces structures.

 

  1. Changements permis par la remise en cause des moyens d’échange.
    1.  Liberté d’entreprendre

En permettant à ceux qui le désirent de devenir plus facilement entrepreneurs, puisqu’il leur suffira de présenter un projet suffisamment structuré pour convaincre les organismes chargés de définir les plafonds de reconnaissances de dettes autorisés pour pouvoir se lancer, la société s’organisera en partant de la base.

Les reconnaissances de dettes permettant d’acquérir tous les biens nécessaires à la création d’une entreprise, ne transfèreront pas la propriété de l’entreprise à l’entrepreneur. La propriété des entreprises sera collective.

L’intérêt pour un individu de devenir entrepreneur est de lui permettre de faire ce qui l’intéresse en d’en tirer un revenu plus important que ce qu’il pourrait obtenir en demeurant simple salarié. Revenus limités à la fourchette autorisée par les instances démocratiques et les organisations internes aux entreprises permettant aux salariés d’avoir un droit de regard.

    1.  Propriété collective des biens de production

En conservant la propriété collective des biens de production, la Nation conserve la possibilité d’orienter l’économie en fonction de ses besoins sans avoir à subir la pression des autres Nations ou des entreprises multinationales.

En faisant école, quand d’autres Nations décideront d’adopter le même système économique que le notre, les échanges se feront dans la coopération et plus dans la concurrence.

      1. Automatisation de la production

L’évolution technologique permet de remplacer les travailleurs par des robots. L’intérêt de mettre en place la propriété collective des biens de production est de réduire le temps de travail des salariés sans perdre de pouvoir d’achat, car les coûts de production sont automatiquement réduits des montants des salaires qui ne sont plus versés, sans que le volume des biens produits diminue, bien au contraire puisque les robots sont capables de produire plus vite et mieux que les salariés.

    1.  Partage des gains de productivité entre tous.

Grâce à la baisse des coûts donc des prix, les gains de productivité profiteront à toute la population. Les entreprises seront tenues de répercuter une fraction importante de leurs gains de productivité en baissant leurs prix. Le taux sera à définir par les instances démocratiques chargées d’établir les règles de gestion de l’économie.

    1. Baisse du temps de travail sans baisse du pouvoir d’achat

En réduisant de façon très importante les rémunérations les plus élevées, on réduit considérablement le nombre de personnes pouvant acquérir des biens de grand luxe, comme les yachts, certaines voitures, d’immenses maisons, etc.

En supprimant les emplois n’ayant pour but que de produire des biens très très couteux, on permet à ces salariés de partager le travail de productions nécessaires à l’ensemble de la population.

On réduit ainsi la production globale en valeur, sans pour autant réduire la valeur de la production des biens nécessaires à l’ensemble de la population, ce qui permet à tous les travailleurs de réduire leur temps de travail sans réduire leur pouvoir d’achat.

La baisse de la production globale n’affectera que la production qui était acquise par les plus fortunés en prélevant sur le reste de la population le pouvoir d’achat nécessaire pour leurs acquisitions.

  1. évolution de la démocratie

La démocratie ne peut exister réellement que si le peuple décide directement, sans passer par des représentants élus.

La démocratie n’existe pas réellement si le peuple ne décide pas de la direction que doit prendre la production.

Nous devons donc inventer un mode de gestion démocratique qui permet à chacun de pouvoir décider des investissements réalisés au niveau de chaque entreprise ainsi qu’au niveau de la Nation.

Des organismes démocratiquement mis en place pourront proposer des orientations, mais celles-ci ne pourront être mises en place qu’avec l’assentiment de la population qui sera consultée au niveau concerné par les conséquences des choix. Ces niveaux pourront être la commune, le canton, le département, la région ou le pays.

Chaque citoyen devra pouvoir donner son avis sur l’ensemble des décisions à prendre, mais nul ne sera obligé de s’investir s’il ne se sent pas compétent ou concerné.

  1. Bases économiques des problèmes de délinquance

Quand le travail n’est pas réparti entre tous les individus en capacité de travailler, qu’un grand nombre d’individus ne perçoit pas de revenus ou des revenus sociaux très insuffisants pour financer l’ensemble des dépenses incompressibles, ces individus sont contraints de trouver les moyens d’équilibrer leurs revenus avec leurs dépenses par tous les moyens envisageables, qu’ils soient légaux ou illégaux.

Les réseaux de diffusion de drogues, sont dans les quartiers comptant un très grand pourcentage de personnes au chômage sans indemnités, un moyen d’accumuler suffisamment d’argent pour parvenir notamment à payer les loyers.

Pour un Etat qui ne souhaite pas remettre en cause les inégalités de revenus en imposant de façon très importante les hauts revenus, et pour cette raison n’a pas les moyens de redistribuer suffisamment d’aides sociales pour permettre aux plus démunis d’équilibrer leurs budgets, l’argent de la drogue et de toute la délinquance réalisée pour obtenir des revenus illicites, finit par limiter les risques d’explosion sociale, et peut être considéré comme un moindre mal.

    1.  Délinquance et développement de l’appareil répressif

Comment mieux justifier le développement d’un appareil répressif qu’en le justifiant par le développement de la délinquance.

      1. Dérive dans l’utilisation de l’appareil répressif.

Dans un Etat dont le pouvoir est contesté il est aisé de dévoyer l’appareil répressif développé pour lutter contre la délinquance en réprimant les contestataires qui usent de leur droit constitutionnel de manifester.

Sous prétexte d’empêcher les casseurs, le service d’ordre utilise des méthodes d’encadrement des manifestations plus que contestables, comme les nasses, pratiques illégales, et un encadrement de proximité qui conduit à attiser la colère des plus contestataires qui se considèrent comme empêchés. Contraindre les manifestants à se tenir à quelques centimètres d’un service d’ordre dont ils savent qu’à tout moment il risque, sans forcément comprendre pourquoi,  de les gazer, de les blesser, de les arrêter, n’est certainement pas la meilleure méthode pour que les manifestations se déroulent calmement.

Cette façon de gérer les manifestations qui conduit à des débordements permet de justifier un renforcement des encadrements des manifestations et conduit à une escalade des violences, dont on peut supposer qu’elles servent le pouvoir en décourageant les plus pacifiques d’y participer, par peur d’avoir à subir une répression non ciblée.

    1. Partage du travail et baisse de la délinquance

En partageant le travail entre tous, on permet à chacun d’avoir un revenu minimum suffisant pour payer les dépenses incompressibles. Personne ne doit, pour des raisons diverses, accidents de la vie, handicaps, réduction d’effectifs, se trouver dans une situation l’empêchant de payer ses dépenses incompressibles avec pour conséquence pour certains de se retrouver à la rue, ce qui est totalement inacceptable.

  1. Etablissement des prix

Pour parvenir à éviter la concurrence entre les productions internes et les productions extérieures, il est nécessaire de rompre avec la gestion économique actuelle qui consiste à intégrer aux coûts directs de production les coûts sociaux et fiscaux alors que ces coûts doivent être ajoutés aux coûts de production par un système de TVA sociales et de Taxes qui grossissent indifféremment les prix des productions internes et les prix des productions importées.

Chaque population décidant démocratiquement du niveau de protection collective qu’elle désire voir appliquer celle-ci ne doit pas avoir d’incidence sur les exportations. Les retraites, les coûts des soins, les dépenses de protection sociale, les coûts administratifs, etc, d’un pays n’ont pas à être payés par les populations d’autres pays.

  1. Vos contributions.

Tous vos commentaires, vos questionnements, vos remarques, vos propositions sont les bienvenus.

Le texte proposé a besoin d’être complété, détaillé en fonction des questionnements qu’il provoque dans son état actuel.

Ceci est la version 1.04. Ce texte sera rapidement complété grâce à vous. Merci de vos contributions, de vos partages permettant de faire connaître au plus grand nombre cette proposition qui pourrait donner de l’espoir à un grand nombre de personne qui dans la société actuelle désespèrent.

 

 

 

  1. Table des matières

1.      Qu’est-ce que la monnaie. 1

2.      Comment parvenir à remettre en cause le système existant ?. 1

3.      Gestion démocratique des reconnaissances de dettes. 3

3.1.       Organismes de gestion des plafonds des reconnaissances de dettes. 3

3.2.       Gestion des comptes de reconnaissances de dettes. 3

4.      Changements permis par la remise en cause des moyens d’échange. 4

4.1.       Liberté d’entreprendre. 4

4.2.       Propriété collective des biens de production. 4

4.2.1.         Automatisation de la production. 4

4.3.       Partage des gains de productivité entre tous. 4

4.4.       Baisse du temps de travail sans baisse du pouvoir d’achat. 4

5.      évolution de la démocratie. 5

6.      Bases économiques des problèmes de délinquance. 5

6.1.       Délinquance et développement de l’appareil répressif. 5

6.1.1.         Dérive dans l’utilisation de l’appareil répressif. 6

6.2.       Partage du travail et baisse de la délinquance. 6

7.      Établissement des prix. 6

8.      Vos contributions. 6

9.      Table des matières. 7

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commentaires

C
Le financement des retraites demande une vision globale de l'économie qui remet en cause le système en place actuellement.Les cotisations de retraite doivent financer les investissements qui doivent être la propriété collective de l'ensemble des salariés et le paiement des retraites doit correspondre majoritairement aux amortissements des biens de production avec si nécessaire un complément de cotisations de solidarité. La cotisation de solidarité doit financer le chômage et l'ensemble des prestations sociales.<br /> Au lieu de financer les profits qui n'existent plus dans ce système alternatif, les salariés financent les retraites qui servent à financer les investissements (biens de production).<br /> Un paragraphe va être ajouté prochainement au texte actuel.
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A
Comment rémunérez vous les retraités, les chômeurs? <br /> Cependant votre idée est intéressante.<br /> Je la mettrai en parallèle avec le salaire à vie de Bernard Fryot qui propose une autre valeur économique que celle mesurée par la durée de travail. Cette valeur est la reconnaissance économique des retraités, des chômeurs, des parents, des soignants, des fonctionnaires...qui ne sont pas une charge sociale mais qui on droit à un salaire à vie. <br /> Enfin je parlerai d'espoir RIC 2022 représenté par Clara Egger qui propose de modifier la constitution....
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